White River Hydro Project, Ontario, Canada

Une occasion de favoriser les avantages mutuels et de soutenir le développement durable

Cet article a été initialement publié dans le numéro 33 du Journal of Aboriginal Management (JAM), dans le thème Infrastructures : Bâtir un avenir meilleur.


 

La participation des Autochtones dans des projets d’infrastructures favorise l’autonomisation économique des communautés tout en contribuant à la réussite et à la durabilité globales des projets. Dans cet article, nous examinons certaines des façons dont les communautés autochtones peuvent participer aux investissements en infrastructures et nous soulignons les avantages que de tels partenariats peuvent créer.

L’investissement responsable nécessite la mobilisation inclusive des parties prenantes

Les projets d’infrastructures sont généralement des actifs corporels à grande échelle qui répondent à un besoin humain de base. Ces actifs sont essentiels au bien-être des communautés et au bon fonctionnement des économies locales. Les infrastructures englobent des projets comme les routes, les ponts, les écoles, les hôpitaux, la distribution et le traitement de l’eau, ainsi que la production et le transport d’électricité. L’aménagement et la construction de ces actifs nécessitent des investissements importants et l’apport de nombreuses parties prenantes. L’importance des projets d’infrastructure pour les communautés, leur nature à long terme et leur taille exigent une approche de placement responsable pour garantir et maintenir un permis social d’exploitation.

La mobilisation des parties prenantes joue un rôle crucial, car elle fait en sorte que les placements intègrent un large éventail de perspectives et produisent des résultats positifs. En fin de compte, l’investissement responsable consiste à produire des rendements financiers tout en tenant compte de l’incidence plus générale sur la société et l’environnement. Une approche inclusive de la mobilisation est essentielle pour garantir que toutes les parties concernées sont consultées.

On reconnaît de plus en plus l’importance d’inclure les peuples autochtones en tant que parties prenantes essentielles dans les projets d’infrastructures, en veillant à ce que leurs droits, leur patrimoine culturel et leurs intérêts économiques soient respectés et soutenus. Cela est particulièrement important dans des pays comme le Canada, où de nombreux projets d’infrastructures ont un impact direct sur les terres et les territoires des Autochtones, ainsi que sur leurs peuples et leurs communautés.

Cette sensibilisation accrue, combinée à une plus grande volonté d’inclusivité de la part des gouvernements et des entreprises, devrait contribuer à accroître la participation des Autochtones à l’aménagement responsable de nouveaux projets d’infrastructures durables au Canada. Toutefois, il est important que ces efforts soient axés sur le désir d’une véritable compréhension des points de vue et des priorités des Autochtones, ainsi que sur l’établissement d’une relation authentique qui vise à atteindre un avantage mutuel. Une telle approche favorise la transparence tout en encourageant la collaboration et la recherche de consensus, qui peuvent améliorer la prise de décisions et les résultats.

La collaboration favorise les avantages mutuels et le développement durable

Les partenariats positifs offrent une voie prometteuse vers des occasions d’investissement plus inclusives qui facilitent l’autonomisation économique des communautés autochtones et appuient l’aménagement, la construction et l’exploitation de projets d’infrastructures durables et de grande qualité.

La participation accrue des Autochtones peut contribuer aux efforts de réconciliation en encourageant le développement des entreprises autochtones, l’autodétermination et des résultats socioéconomiques positifs. Les flux de trésorerie réguliers générés par les investissements en infrastructures peuvent fournir aux partenaires autochtones des fonds pour répondre à un grand nombre d’objectifs : logement, soins de santé, éducation, installations récréatives, centres communautaires, développement économique, revitalisation culturelle, ou tout ce que la communauté valorise et priorise.

La mobilisation des communautés autochtones contribue également à protéger la valeur des investissements dans les infrastructures : elle atténue certains risques, permet d’éviter ou de résoudre promptement les conflits et les problèmes juridiques et rend l’aménagement et l’exploitation des projets plus fluides et efficaces.

Scott Munro, chef de la direction adjoint du Conseil de gestion financière des Premières Nations, l’a bien souligné dans son article sur l’évolution des normes ESG (JAM 32) : « La manière dont une entreprise prend en compte et respecte les droits des Autochtones déterminera l’impact sur sa valeur d’entreprise. Si l’entreprise ne peut montrer aux investisseurs et aux prêteurs qu’elle a obtenu le consentement libre, préalable et éclairé des peuples autochtones touchés par un projet, aussi bien intentionné et avantageux qu’il soit, le conflit sera inévitable. Le projet pourrait être retardé ou prêter le flanc à un litige coûteux, et l’entreprise fera face à une atteinte à sa réputation et à des actionnaires mécontents. »

En plus d’atténuer certains des risques associés aux projets d’infrastructures, la participation active des communautés autochtones dès les premières étapes de la planification des projets apporte des connaissances et des perspectives locales précieuses. Les communautés autochtones connaissent très bien leurs terres, leurs ressources et leurs pratiques traditionnelles. Ces perspectives contribuent à améliorer la conception des projets, à approfondir les connaissances dans les domaines d’importance archéologique, à gérer durablement les ressources, à préserver la biodiversité et à réaliser des évaluations d’impact environnemental plus robustes, tout en favorisant une surveillance et un entretien efficaces de l’environnement.

La collaboration accroît la durabilité des projets et renforce les efforts d’intendance en intégrant les perspectives et les pratiques autochtones qui se sont avérées respectueuses de l’environnement et résilientes au fil des générations. Elle peut mener à des résultats plus fructueux, tant pour le projet que pour les communautés concernées, en promouvant la collaboration, la confiance et la prospérité partagée.

Des occasions pour les Autochtones dans les infrastructures

Les collectivités autochtones peuvent participer à un projet d’infrastructures de différentes façons. Elles peuvent le faire directement par le biais d’une participation en actions, d’un partage des revenus ou d’une autre entente mutuellement avantageuse, ou encore d’une participation moins directe comme un placement dans une entreprise d’infrastructures publique ou un fonds d’infrastructures privé.

Le plus souvent, la participation est officialisée au moyen d’une entente négociée sur les avantages qui régit la relation entre la communauté autochtone et le projet d’infrastructures. Ces ententes énoncent les avantages et la rémunération spécifiques que la communauté autochtone recevra en échange de son soutien ou de son consentement à un projet, en veillant à ce que ses intérêts soient codifiés et reconnus dans le cadre des activités courantes du projet. Les ententes fructueuses facilitent la consultation et l’approbation de la communauté en tenant compte de ses objectifs sociaux, économiques et environnementaux, tout en assurant une distribution équitable des coûts et des avantages du projet. Les avantages peuvent comprendre la rémunération financière, des possibilités d’emploi, la formation professionnelle et les initiatives de développement communautaire.

La participation en actions permet à la communauté autochtone de participer directement aux facteurs économiques des investissements en infrastructures. En ayant une participation dans un projet, les communautés reçoivent des profits et prennent part à certains aspects du processus décisionnel. Les ententes de partage des revenus sont une autre façon pour les communautés autochtones de partager les profits générés par un projet d’infrastructures et peuvent constituer une importante source de revenus. Ces deux types d’ententes peuvent renforcer leur économie, favoriser la création d’emplois et améliorer l’accès aux ressources.

En plus des participations en actions et des paiements de redevances, on peut envisager d’autres ententes mutuellement avantageuses. Il est important de reconnaître que les besoins, les valeurs et les ambitions de chaque communauté autochtone sont uniques de la même façon que chaque projet d’infrastructures est distinct. Bien qu’il y ait des avantages à tirer parti de l’expérience passée et des pratiques exemplaires, il n’existe pas d’approche universelle. Chaque discussion doit s’amorcer dans le respect de la communauté autochtone et la volonté de dialogue ouvert qui aboutissent à une entente et à une collaboration productive.

Accent mis par CC&L Infrastructure sur la valeur partagée et les partenariats solides

CC&L Infrastructure investit dans des infrastructures présentant un profil risque-rendement attrayant, une longue durée de vie et la possibilité de générer des flux de trésorerie stables pour une clientèle très diversifiée : fiducies autochtones, fonds de pension publics et privés, sociétés d’assurance vie, institutions financières, fondations et fonds de dotation, particuliers fortunés, etc.

En tant que propriétaire d’actifs à long terme et intendant du capital de ses clients, CC&L Infrastructure se concentre sur la gestion responsable de ses actifs, qui comprend une approche systématique de l’évaluation des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance. Nous croyons que cette approche améliore notre capacité à gérer le risque, protège la valeur de nos placements et bonifie le rendement des placements à long terme.

Notre société collabore depuis longtemps avec des partenaires autochtones. Il y a plus de 15 ans, nous avons collaboré avec les Premières Nations locales lors de notre premier investissement; aujourd’hui, nous coopérons d’une façon ou d’une autre avec les communautés autochtones pour plus de la moitié des actifs d’infrastructures canadiens en portefeuille. Il s’agit notamment de plusieurs installations hydroélectriques au fil de l’eau et projets d’énergie solaire dans lesquels nos partenaires autochtones détiennent une participation directe à nos côtés.

CC&L Infrastructure est membre du Groupe financier Connor, Clark & Lunn Ltée, une société de gestion de placements détenue par ses employés, dotée d’une structure multientreprise et dont les sociétés affiliées gèrent collectivement un actif de plus de 118 milliards de dollars canadiens.

Photo of White River hydro project
White River Hydro Project, Ontario, Canada

Une occasion de favoriser les avantages mutuels et de soutenir le développement durable

Cet article a été initialement publié dans le numéro 33 du Journal of Aboriginal Management (JAM), dans le thème Infrastructures : Bâtir un avenir meilleur.


À PROPOS DE L’AUTEUR

Peter Muldowney.

Peter Muldowney
Chef, Stratégie institutionnelle à catégories d’actifs multiples, au sein du Groupe financier Connor, Clark & Lunn

Peter Muldowney est chef, Stratégie institutionnelle à catégories d’actifs multiples, au sein du Groupe financier Connor, Clark & Lunn, et il dirige l’initiative Échange stratégique du cabinet. M. Muldowney possède plus de 20 ans d’expérience dans les placements au Canada, aux États-Unis et au Royaume-Uni. Avant de se joindre au cabinet en 2011, il a commencé sa carrière comme consultant, dirigeant notamment deux des plus importants cabinets au Canada. En 2008, il est passé au secteur de la gestion de placement et a mis sur pied une nouvelle division de placement pour une société d’assurance canadienne. Peter Muldowney a terminé les 4 saisons de la réconciliation de l’Université des Premières Nations du Canada et a obtenu la Certification professionnelle en placements durables (CPPD) de l’Université Concordia en 2022.


 

La participation des Autochtones dans des projets d’infrastructures favorise l’autonomisation économique des communautés tout en contribuant à la réussite et à la durabilité globales des projets. Dans cet article, nous examinons certaines des façons dont les communautés autochtones peuvent participer aux investissements en infrastructures et nous soulignons les avantages que de tels partenariats peuvent créer.

L’investissement responsable nécessite la mobilisation inclusive des parties prenantes

Les projets d’infrastructures sont généralement des actifs corporels à grande échelle qui répondent à un besoin humain de base. Ces actifs sont essentiels au bien-être des communautés et au bon fonctionnement des économies locales. Les infrastructures englobent des projets comme les routes, les ponts, les écoles, les hôpitaux, la distribution et le traitement de l’eau, ainsi que la production et le transport d’électricité. L’aménagement et la construction de ces actifs nécessitent des investissements importants et l’apport de nombreuses parties prenantes. L’importance des projets d’infrastructure pour les communautés, leur nature à long terme et leur taille exigent une approche de placement responsable pour garantir et maintenir un permis social d’exploitation.

La mobilisation des parties prenantes joue un rôle crucial, car elle fait en sorte que les placements intègrent un large éventail de perspectives et produisent des résultats positifs. En fin de compte, l’investissement responsable consiste à produire des rendements financiers tout en tenant compte de l’incidence plus générale sur la société et l’environnement. Une approche inclusive de la mobilisation est essentielle pour garantir que toutes les parties concernées sont consultées.

On reconnaît de plus en plus l’importance d’inclure les peuples autochtones en tant que parties prenantes essentielles dans les projets d’infrastructures, en veillant à ce que leurs droits, leur patrimoine culturel et leurs intérêts économiques soient respectés et soutenus. Cela est particulièrement important dans des pays comme le Canada, où de nombreux projets d’infrastructures ont un impact direct sur les terres et les territoires des Autochtones, ainsi que sur leurs peuples et leurs communautés.

Cette sensibilisation accrue, combinée à une plus grande volonté d’inclusivité de la part des gouvernements et des entreprises, devrait contribuer à accroître la participation des Autochtones à l’aménagement responsable de nouveaux projets d’infrastructures durables au Canada. Toutefois, il est important que ces efforts soient axés sur le désir d’une véritable compréhension des points de vue et des priorités des Autochtones, ainsi que sur l’établissement d’une relation authentique qui vise à atteindre un avantage mutuel. Une telle approche favorise la transparence tout en encourageant la collaboration et la recherche de consensus, qui peuvent améliorer la prise de décisions et les résultats.

La collaboration favorise les avantages mutuels et le développement durable

Les partenariats positifs offrent une voie prometteuse vers des occasions d’investissement plus inclusives qui facilitent l’autonomisation économique des communautés autochtones et appuient l’aménagement, la construction et l’exploitation de projets d’infrastructures durables et de grande qualité.

La participation accrue des Autochtones peut contribuer aux efforts de réconciliation en encourageant le développement des entreprises autochtones, l’autodétermination et des résultats socioéconomiques positifs. Les flux de trésorerie réguliers générés par les investissements en infrastructures peuvent fournir aux partenaires autochtones des fonds pour répondre à un grand nombre d’objectifs : logement, soins de santé, éducation, installations récréatives, centres communautaires, développement économique, revitalisation culturelle, ou tout ce que la communauté valorise et priorise.

La mobilisation des communautés autochtones contribue également à protéger la valeur des investissements dans les infrastructures : elle atténue certains risques, permet d’éviter ou de résoudre promptement les conflits et les problèmes juridiques et rend l’aménagement et l’exploitation des projets plus fluides et efficaces.

Scott Munro, chef de la direction adjoint du Conseil de gestion financière des Premières Nations, l’a bien souligné dans son article sur l’évolution des normes ESG (JAM 32) : « La manière dont une entreprise prend en compte et respecte les droits des Autochtones déterminera l’impact sur sa valeur d’entreprise. Si l’entreprise ne peut montrer aux investisseurs et aux prêteurs qu’elle a obtenu le consentement libre, préalable et éclairé des peuples autochtones touchés par un projet, aussi bien intentionné et avantageux qu’il soit, le conflit sera inévitable. Le projet pourrait être retardé ou prêter le flanc à un litige coûteux, et l’entreprise fera face à une atteinte à sa réputation et à des actionnaires mécontents. »

En plus d’atténuer certains des risques associés aux projets d’infrastructures, la participation active des communautés autochtones dès les premières étapes de la planification des projets apporte des connaissances et des perspectives locales précieuses. Les communautés autochtones connaissent très bien leurs terres, leurs ressources et leurs pratiques traditionnelles. Ces perspectives contribuent à améliorer la conception des projets, à approfondir les connaissances dans les domaines d’importance archéologique, à gérer durablement les ressources, à préserver la biodiversité et à réaliser des évaluations d’impact environnemental plus robustes, tout en favorisant une surveillance et un entretien efficaces de l’environnement.

La collaboration accroît la durabilité des projets et renforce les efforts d’intendance en intégrant les perspectives et les pratiques autochtones qui se sont avérées respectueuses de l’environnement et résilientes au fil des générations. Elle peut mener à des résultats plus fructueux, tant pour le projet que pour les communautés concernées, en promouvant la collaboration, la confiance et la prospérité partagée.

Des occasions pour les Autochtones dans les infrastructures

Les collectivités autochtones peuvent participer à un projet d’infrastructures de différentes façons. Elles peuvent le faire directement par le biais d’une participation en actions, d’un partage des revenus ou d’une autre entente mutuellement avantageuse, ou encore d’une participation moins directe comme un placement dans une entreprise d’infrastructures publique ou un fonds d’infrastructures privé.

Le plus souvent, la participation est officialisée au moyen d’une entente négociée sur les avantages qui régit la relation entre la communauté autochtone et le projet d’infrastructures. Ces ententes énoncent les avantages et la rémunération spécifiques que la communauté autochtone recevra en échange de son soutien ou de son consentement à un projet, en veillant à ce que ses intérêts soient codifiés et reconnus dans le cadre des activités courantes du projet. Les ententes fructueuses facilitent la consultation et l’approbation de la communauté en tenant compte de ses objectifs sociaux, économiques et environnementaux, tout en assurant une distribution équitable des coûts et des avantages du projet. Les avantages peuvent comprendre la rémunération financière, des possibilités d’emploi, la formation professionnelle et les initiatives de développement communautaire.

La participation en actions permet à la communauté autochtone de participer directement aux facteurs économiques des investissements en infrastructures. En ayant une participation dans un projet, les communautés reçoivent des profits et prennent part à certains aspects du processus décisionnel. Les ententes de partage des revenus sont une autre façon pour les communautés autochtones de partager les profits générés par un projet d’infrastructures et peuvent constituer une importante source de revenus. Ces deux types d’ententes peuvent renforcer leur économie, favoriser la création d’emplois et améliorer l’accès aux ressources.

En plus des participations en actions et des paiements de redevances, on peut envisager d’autres ententes mutuellement avantageuses. Il est important de reconnaître que les besoins, les valeurs et les ambitions de chaque communauté autochtone sont uniques de la même façon que chaque projet d’infrastructures est distinct. Bien qu’il y ait des avantages à tirer parti de l’expérience passée et des pratiques exemplaires, il n’existe pas d’approche universelle. Chaque discussion doit s’amorcer dans le respect de la communauté autochtone et la volonté de dialogue ouvert qui aboutissent à une entente et à une collaboration productive.

Accent mis par CC&L Infrastructure sur la valeur partagée et les partenariats solides

CC&L Infrastructure investit dans des infrastructures présentant un profil risque-rendement attrayant, une longue durée de vie et la possibilité de générer des flux de trésorerie stables pour une clientèle très diversifiée : fiducies autochtones, fonds de pension publics et privés, sociétés d’assurance vie, institutions financières, fondations et fonds de dotation, particuliers fortunés, etc.

En tant que propriétaire d’actifs à long terme et intendant du capital de ses clients, CC&L Infrastructure se concentre sur la gestion responsable de ses actifs, qui comprend une approche systématique de l’évaluation des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance. Nous croyons que cette approche améliore notre capacité à gérer le risque, protège la valeur de nos placements et bonifie le rendement des placements à long terme.

Notre société collabore depuis longtemps avec des partenaires autochtones. Il y a plus de 15 ans, nous avons collaboré avec les Premières Nations locales lors de notre premier investissement; aujourd’hui, nous coopérons d’une façon ou d’une autre avec les communautés autochtones pour plus de la moitié des actifs d’infrastructures canadiens en portefeuille. Il s’agit notamment de plusieurs installations hydroélectriques au fil de l’eau et projets d’énergie solaire dans lesquels nos partenaires autochtones détiennent une participation directe à nos côtés.

CC&L Infrastructure est membre du Groupe financier Connor, Clark & Lunn Ltée, une société de gestion de placements détenue par ses employés, dotée d’une structure multientreprise et dont les sociétés affiliées gèrent collectivement un actif de plus de 118 milliards de dollars canadiens.

l’aéroport international L.F. Wade

Connor, Clark & Lunn Infrastructure (« CC&L Infrastructure ») a annoncé aujourd’hui l’acquisition d’une participation minoritaire de 49,9 % dans Bermuda Skyport Corporation Limited (« Skyport ») d’Aecon Group Inc. (« Aecon »), le concessionnaire de l’aéroport international L.F. Wade (l’« aéroport international des Bermudes »). Aecon est une importante société canadienne de construction et de développement d’infrastructures, qui continuera d’être le propriétaire majoritaire et l’exploitant de l’aéroport. Le prix d’achat de la participation acquise est de 128,5 M$ US, et la transaction demeure assujettie à un certain nombre de conditions de clôture qui, selon les parties, seront satisfaites au cours des prochaines semaines.

L’aéroport international des Bermudes offre aux voyageurs internationaux et aux Bermudiens le seul accès aérien à l’île. Cet aéroport moderne de calibre mondial, doté d’un nouveau terminal de passagers ultramoderne, soutient l’industrie touristique grandissante des Bermudes et son statut de centre financier mondial. L’installation a été construite avec des systèmes d’éclairage, de climatisation et de traitement des eaux usées écoénergétiques et de façon à s’adapter aux conditions météorologiques extrêmes communes aux nations insulaires.

Le réaménagement de l’aéroport international des Bermudes a été achevé en 2020 dans le cadre d’un accord de concession entre Skyport, une filiale en propriété exclusive d’Aecon, et la Bermuda Airport Authority. Skyport est responsable de l’exploitation, de l’entretien et des fonctions commerciales de l’aéroport et coordonne l’ensemble du projet de réaménagement de celui-ci dans le cadre d’un accord de concession, qui a encore 24 ans à courir sur sa durée initiale de 30 ans.

« Nous sommes enthousiastes à l’idée de nous étendre à un nouveau secteur et à une nouvelle région en ajoutant à notre portefeuille d’infrastructures cette participation dans un aéroport de classe mondiale, a déclaré Matt O’Brien, président de CC&L Infrastructure. Cet investissement est conforme à notre stratégie qui consiste à investir dans des actifs de qualité supérieure à long terme dans des territoires solvables.  L’aéroport international L.F. Wade est un excellent exemple d’un actif durable et résilient qui présente un potentiel de croissance, à mesure que le trafic de passagers se redresse dans la foulée de la COVID-19, et constitue un complément intéressant à notre portefeuille existant et bien diversifié d’infrastructures. »

« Nous croyons que les Bermudes sont un territoire de choix pour les investissements et nous sommes ravis de nous associer à Aecon et à l’équipe de Skyport pour offrir un aéroport de grande qualité à l’État et à la population des Bermudes, a ajouté Ryan Lapointe, directeur général de CC&L Infrastructure. En tant qu’investisseurs à long terme, nous sommes impatients de travailler avec nos partenaires d’Aecon et du gouvernement des Bermudes pour assurer le succès de l’exploitation de l’aéroport international des Bermudes pendant de nombreuses années. »

Marchés des capitaux  CIBC a agi à titre de conseiller financier et Torys LLP est conseiller juridique de CC&L Infrastructure à l’égard de la transaction.

À propos de Connor, Clark & Lunn Infrastructure

CC&L Infrastructure investit dans des infrastructures du marché intermédiaire qui présentent un profil risque-rendement intéressant, une longue durée de vie et un potentiel de production de flux de trésorerie stables. À ce jour, CC&L Infrastructure a accumulé un actif sous gestion de plus de 5 milliards de dollars, couvrant divers secteurs, types d’actif et régions, et compte plus de 90 installations sous-jacentes réparties dans plus de 30 placements individuels. CC&L Infrastructure est membre du Groupe financier Connor, Clark & Lunn Ltd., une société de gestion de placements dotée d’une structure multientreprise et dont les sociétés affiliées gèrent collectivement un actif plus de 100 milliards de dollars canadiens. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter le site www.cclinfrastructure.com.

Personne-ressource

Vrushabh Kamat
Connor, Clark & Lunn Infrastructure
437 928-5184
[email protected]

Connor, Clark & Lunn Infrastructure (CC&L Infrastructure) et son partenaire, Alpenglow Rail (Alpenglow), ont annoncé aujourd’hui l’acquisition d’Alberta Midland Railway Terminal (AMRT), une société ferroviaire de courte distance située dans Lamont County, en Alberta, qui offre des solutions de transport et de logistique de premier et de dernier kilomètre à une clientèle locale bien établie. Il s’agit du plus récent placement effectué dans le cadre d’un partenariat établi par CC&L Infrastructure et Alpenglow en 2019, qui comprend maintenant six terminaux ferroviaires au Canada et aux États-Unis.

AMRT, qui a la capacité d’entreposer plus de 1 400 wagons sur un terrain d’environ 300 acres, est stratégiquement située pour desservir l’un des plus grands pôles industriels en Amérique du Nord, qui compte plus de 40 installations industrielles représentant des investissements de plus de 40 milliards de dollars. AMRT est desservie par le CN et le CP (les seuls chemins de fer de classe I de la région), et est située à proximité des marchés industriels et des clients de grande envergure, ce qui fait du terminal une partie intégrante des chaînes d’approvisionnement locales.

« Nos activités ferroviaires ont continué d’enregistrer de solides rendements tout au long des turbulences boursières que nous avons connues au cours des trois dernières années, et AMRT représente un ajout important à notre portefeuille de placements ferroviaire en croissance, a déclaré Matt O’Brien, président de CC&L Infrastructure. Nous avons hâte de travailler avec nos partenaires d’Alpenglow pour stimuler la croissance d’AMRT et créer de la valeur à long terme dans l’ensemble de nos activités ferroviaires. »

Cet investissement fait progresser le plan de CC&L Infrastructure et d’Alpenglow visant à construire et à exploiter un portefeuille diversifié d’entreprises ferroviaires en Amérique du Nord. Grâce à l’acquisition d’AMRT, le partenariat comprend trois terminaux sur la côte américaine du golfe du Mexique et trois terminaux au Canada, et offre donc une gamme diversifiée de services à une clientèle d’entreprises de premier ordre.

« Nous sommes ravis d’accroître notre présence en Amérique du Nord avec l’acquisition d’AMRT, a déclaré le chef de la direction d’Alpenglow, Rich Montgomery. Nous voyons des occasions de tirer parti de notre expertise pour poursuivre une croissance importante, notamment grâce à de nouvelles offres de service à la clientèle. AMRT possède des caractéristiques uniques qui sont difficiles à reproduire, notamment deux chemins de fer de classe I, un emplacement stratégique dans le principal pôle industriel de l’Alberta et un vaste territoire pour le développement et l’expansion. Ces caractéristiques, combinées à notre approche éprouvée axée sur le service à la clientèle et la sécurité, offrent la possibilité d’ajouter une valeur importante pendant la durée de vie de l’actif. »

À propos de Connor, Clark & Lunn Infrastructure

CC&L Infrastructure investit dans des infrastructures du marché intermédiaire qui présentent un profil risque-rendement intéressant, une longue durée de vie et un potentiel de production de flux de trésorerie stables. À ce jour, CC&L Infrastructure a accumulé un actif sous gestion de plus de 5 milliards de dollars, couvrant divers secteurs, types d’actif et régions, et compte plus de 90 installations sous-jacentes réparties dans plus de 30 placements individuels. CC&L Infrastructure est membre du Groupe financier Connor, Clark & Lunn Ltd., une société de gestion de placements dotée d’une structure multientreprise et dont les sociétés affiliées gèrent collectivement un actif d’environ 98 milliards de dollars canadiens. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter le site www.cclinfrastructure.com.

À propos d’Alpenglow Rail

Alpenglow Rail développe et gère des activités de transport ferroviaire de marchandises et des actifs de transport connexes en Amérique du Nord. Elle possède et exploite actuellement six terminaux ferroviaires stratégiquement situés dans les principaux marchés industriels au Canada et sur la côte américaine du golfe du Mexique. Alpenglow Rail a été fondé par les dirigeants de sociétés ferroviaires chevronnés Rich Montgomery, Darcy Brede, Henning von Kalm et Josh Huster. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter le site www.alpenglowrail.com.

Personnes-ressources

Vrushabh Kamat
Connor, Clark & Lunn Infrastructure
(437) 928-5184
[email protected]

Rich Montgomery
Alpenglow Rail
(720) 328-0944
[email protected]

Connor, Clark & Lunn Infrastructure (CC&L Infrastructure) et CarbonFree Technology sont heureux d’annoncer la clôture d’un financement par emprunt de 360 M$ US pour leur portefeuille de projets d’énergie solaire à grande échelle au Chili. Le financement comprend une lettre de crédit d’environ 19 M$, prêt-relais de 71 M$, qui servira à financer les coûts de construction courants, et un placement privé d’environ 270 M$, dont le produit servira principalement à refinancer la dette bancaire existante et à rembourser le prêt-relais lorsque les projets seront achevés. S&P a attribué la cote BBB+ à l’émission dans le cadre du placement privé; cette émission a été largement sursouscrite par un consortium d’importantes institutions financières nord-américaines.

« Nous sommes ravis de conclure ce refinancement, lequel comprend le plus important placement privé pour la mise en œuvre d’un projet d’actifs solaires au Chili à ce jour, a déclaré Matt O’Brien, président de CC&L Infrastructure. Le regroupement, la réduction des risques et la construction réussie de projets individuels à petite échelle sont l’aboutissement d’une stratégie pluriannuelle qui nous permet d’obtenir un financement à long terme à des taux concurrentiels et de créer de la valeur pour nos investisseurs. Nos actifs solaires chiliens font partie de notre vaste portefeuille en rapide croissance axé sur la transition énergétique, qui regroupe plus de 1,5 gigawatt d’actifs renouvelables d’une gamme de technologies d’énergie propre.

Depuis qu’ils ont effectué leur investissement initial au Chili en 2017, CC&L Infrastructure et CarbonFree ont considérablement élargi leur portefeuille, qui comprend maintenant 37 installations d’énergie solaire sur terre en exploitation et 16 autres projets actuellement en construction ou dont la construction devrait commencer sous peu. La capacité de production du portefeuille total d’actifs solaires chiliens s’élève à environ 360 mégawatts (MW), dont plus de 250 MW sont produits par des installations en exploitation et 110 MW proviennent de projets actuellement en construction ou sur le point de l’être. Le portefeuille devrait être entièrement opérationnel d’ici la deuxième moitié de 2023.

« Le Chili réalise d’excellents progrès en vue d’atteindre ses cibles de 2030 en matière d’énergie propre et de décarbonisation, en plus de son objectif global de carboneutralité d’ici 2050. Nous sommes ravis que notre portefeuille de projets d’énergie solaire puisse contribuer à ce leadership en matière de lutte contre les changements climatiques et fournir aux citoyens chiliens de l’électricité à un prix abordable pour de nombreuses années », a déclaré David Oxtoby, chef de la direction de CarbonFree.

L’énergie produite par ces projets sera vendue à un prix stable offert dans le cadre du programme Pequeños Medios de Generación Distribuidos (PMGD) et sera transportée grâce à des infrastructures appartenant à des sociétés de distribution locales. Une fois que tous les projets du portefeuille seront terminés, les installations seront en mesure de produire plus de 750 000 MW/h d’électricité propre par année.

À propos de Connor, Clark & Lunn Infrastructure

CC&L Infrastructure investit dans des infrastructures du marché intermédiaire qui présentent un profil risque-rendement intéressant, une longue durée de vie et un potentiel de production de flux de trésorerie stables. À ce jour, CC&L Infrastructure a accumulé un actif sous gestion de plus de 5 milliards de dollars, couvrant divers secteurs, types d’actif et régions, et compte plus de 90 installations sous-jacentes réparties dans plus de 30 placements individuels. CC&L Infrastructure est membre du Groupe financier Connor, Clark & Lunn Ltd., une société de gestion de placements dotée d’une structure multientreprise et dont les sociétés affiliées gèrent collectivement un actif d’environ 96 milliards de dollars canadiens. Pour en savoir plus : www.cclinfrastructure.com.

À propos de CarbonFree Technology

CarbonFree Technology est membre du Groupe de sociétés CarbonFree établi à Toronto, au Canada, et à Santiago, au Chili. CarbonFree développe, finance, possède, exploite et gère la construction de projets d’énergie solaire. La société est active au Canada, aux États-Unis et en Amérique latine. Au cours des 15 dernières années, la société a développé plus de 120 projets d’énergie solaire ayant une capacité totale de plus de 660 MW. Pour en savoir plus : www.carbonfree.com.

Personne-ressource

Vrushabh Kamat
Connor, Clark & Lunn Infrastructure
(437) 928-5184
[email protected]

Daniel Soper
CarbonFree Technology
(416) 975-8800 x603
[email protected]

Connor, Clark & Lunn Infrastructure (« CC&L Infrastructure ») et le Régime de rentes du Mouvement Desjardins, représentés par Desjardins Gestion internationale d’actifs (collectivement, « Desjardins »), sont heureux d’annoncer l’acquisition d’une participation majoritaire dans la Promenade Herb Gray (le « projet » ou la « Promenade »), d’ACS Infrastructure Canada (« ACS »), de Fluor Canada Ltd. (« Fluor ») et d’Acciona Concesiones S.L. (« Acciona »). ACS, Fluor et Acciona conserveront une participation minoritaire, et une société d’exploitation et d’entretien formée par ACS et Fluor fournira dorénavant des services d’exploitation et d’entretien pour le projet.

La Promenade Herb Gray est un partenariat public-privé (PPP) entre le Windsor-Essex Mobility Group et la province de l’Ontario. Le projet comprend un corridor d’environ 11 km traversant Windsor en Ontario, y compris une autoroute à six voies avec plusieurs routes de service adjacentes, des échangeurs, des structures, des stations de pompage et des aires de loisirs. Distincte par rapport à de nombreux autres projets en PPP, la Promenade comprend environ 300 acres d’espaces verts, ainsi qu’un entretien actif, une surveillance et des rapports sur diverses caractéristiques environnementales et commodités, y compris la végétation, environ 20 km de sentiers pavés pour les piétons et les cyclistes, et un sentier éclairé à usages multiples.

« Notre investissement dans la Promenade Herb Gray s’inscrit dans notre stratégie qui consiste à acquérir des participations dans des actifs d’infrastructures de grande qualité, durables et résilients avec des contreparties et des partenaires d’exploitation solides et solvables », a déclaré Matt O’Brien, président de CC&L Infrastructure. « Nous remercions notre partenaire investisseur, Desjardins, et nos nouveaux partenaires d’exploitation et de capital-investissement, ACS, Fluor et Acciona. Nous avons hâte de travailler avec ces partenaires et la province de l’Ontario pour assurer le succès de l’exploitation et de l’entretien à long terme de cet important actif. »

« Desjardins est heureuse d’acquérir une participation dans la Promenade Herb Gray par l’entremise du Régime de rentes du Mouvement Desjardins. Les participants au Régime s’attendent à ce que le portefeuille d’infrastructures fasse preuve de constance et de stabilité, et nous sommes impatients de continuer à répondre à ces attentes en investissant dans des actifs de qualité supérieure à long terme comme la Promenade. Nous nous réjouissons également à l’idée de poursuivre l’expansion de notre relation à long terme avec CC&L Infrastructure et de collaborer avec des investisseurs et des exploitants chevronnés d’ACS, Fluor et Acciona », a ajouté Frédéric Angers, vice-président et chef des placements en infrastructure à Desjardins Gestion internationale d’actifs.

Acquise en 2010 par Infrastructure Ontario, la Promenade Herb Gray a commencé ses activités en 2015 et constitue depuis un élément essentiel d’une artère commerciale à trafic élevé entre le Canada et les États-Unis. Le projet a conclu un accord de concession fondé sur la disponibilité sur 30 ans avec Infrastructure Ontario, et il en reste environ 23 ans.

À propos de Connor, Clark & Lunn Infrastructure

CC&L Infrastructure investit dans des infrastructures du marché intermédiaire qui présentent un profil risque-rendement intéressant, une longue durée de vie et un potentiel de production de flux de trésorerie stables. À ce jour, CC&L Infrastructure a accumulé un actif sous gestion de plus de 5 milliards de dollars, couvrant divers secteurs, types d’actif et régions, et compte plus de 90 installations sous-jacentes réparties dans plus de 25 placements individuels. CC&L Infrastructure est membre du Groupe financier Connor, Clark & Lunn Ltd., une société de gestion de placements dotée d’une structure multi-entreprise et dont les sociétés affiliées gèrent collectivement un actif d’environ 96 milliards de dollars canadiens. Pour en savoir plus : www.cclinfrastructure.com.

À propos de Desjardins Gestion internationale d’actifs inc. (DGIA)

Fondée en 1998, Desjardins Gestion internationale d’actifs (DGIA) est l’un des plus importants gestionnaires d’actifs au Canada et possède une expertise interne en actions, en titres à revenu fixe et en actifs réels (infrastructures et immobilier) couvrant divers instruments de placement. DGIA gère un actif institutionnel de plus de 86,5 milliards de dollars canadiens (au 31 mars 2022) pour le compte de sociétés d’assurance, de caisses de retraite, de fonds de dotation, d’organismes sans but lucratif et de sociétés au Canada. Pour en savoir plus : https://www.desjardins.com/a-propos/desjardins/gouvernance-democratie/structure/desjardins-gestion-actifs/index.jsp.

Personne-ressource

Vrushabh Kamat
Connor, Clark & Lunn Infrastructure
(416) 862-8079
[email protected]

Connor, Clark and Lunn Infrastructure (CC&L Infrastructure), EDP Renewables North America (EDPR NA), and Hoosier Energy are celebrating American Clean Power Week as construction winds down at the 200-megawatt (MW) Riverstart Solar Park in Indiana, which will be the largest solar array in the state upon completion.

Located 80 miles northeast of Indianapolis, the solar park has brought hundreds of jobs to Randolph County with approximately $180 million in capital investments. When operational, Riverstart Solar Park will power the equivalent of more than 36,000 average Indiana homes annually.

Over the project’s lifetime, millions of dollars in property tax payments will be disbursed to school districts and local governments. Riverstart has a 20-year purchase power agreement (PPA) with Bloomington-based Hoosier Energy, which will use energy produced from the project to power communities throughout central and southern Indiana and southeastern Illinois. The agreement will help diversify the electric grid and add to Indiana’s growing portfolio of renewable energy projects.

« Riverstart Solar Park will provide an economical source of renewable energy for the next two decades and is a great fit for our members’ long-term needs, » said Donna Walker, Hoosier Energy President and CEO. « Hoosier Energy appreciates the collaboration with EDPR and CC&L Infrastructure and looks forward to working with them to make this project a success. »

Hoosier Energy is a not-for-profit generation and transmission cooperative that provides electric power and services to 18 not-for-profit electric distribution cooperative owners. The 18 cooperative members serve more than 760,000 consumers.

The solar project’s construction has already created hundreds of jobs for Hoosiers and continues to bring well paying jobs to the area. Riverstart has also led to millions of dollars of spending within 50 miles of the project— boosting the local economy and supporting local businesses and families. The project will also complement the area’s agricultural resources with a stable, weather-proof cash crop in the form of landowner lease payments.

“CC&L Infrastructure and our investment partner, Desjardins Group, are pleased to own and operate this largescale solar project alongside EDPR,” said Matt O’Brien, President of CC&L Infrastructure. “As long-term investors, we believe in responsible investment. CC&L Infrastructure is focused on investing in essential infrastructure projects that support local communities while creating value for customers, employees and investors. We look forward to working together to supply Hoosier and Randolph County with solar power for the decades to come.”

“EDP Renewables is proud to bring investments, jobs, economic growth, and renewable energy to Indiana,” said Miguel Prado, CEO of EDP Renewables North America. We are grateful for the collaboration with Hoosier Energy and CC&L Infrastructure, who made the Riverstart Solar Park possible, and we are thrilled to see the positive impact solar power has had on the Randolph County community and the state of Indiana as a whole.”

Riverstart Solar Park is expected to begin operations before the end of 2021. EDPR NA has 1,199 MW of operational renewable energy capacity in Indiana, which represents one-third of all renewable energy capacity installed in the state. Through the company’s dedication to sustainability measures, Indiana is one step closer to a cleaner, brighter future.

About Connor, Clark & Lunn Infrastructure

CC&L Infrastructure invests in middle-market infrastructure assets with highly attractive risk-return characteristics, long lives and the potential to generate stable cash flows. The firm has been an active investor and owner of traditional and renewable energy assets for more than 15 years. Its portfolio includes more than 60 hydro, solar, and wind facilities totaling 1.4 GW of clean energy generating capacity globally. CC&L Infrastructure is a part of Connor, Clark & Lunn Financial Group Ltd., a multi boutique asset management firm whose affiliates collectively manage approximately CAD$100 billion in assets.

For more information, please visit www.cclinfrastructure.com.

About EDP Renewables North America

EDP Renewables North America LLC (EDPR NA), its affiliates, and its subsidiaries develop, construct, own, and operate wind farms and solar parks throughout North America. Headquartered in Houston, Texas, with 58 wind farms, eight solar parks, and seven regional offices across North America, EDPR NA has developed more than 8,300 megawatts (MW) and operates more than 8,000 MW of onshore utility-scale renewable energy projects. With more than 800 employees, EDPR NA’s highly qualified team has a proven capacity to execute projects across the continent.

For more information, visit www.edpr.com/north-america.

About EDP Renewables

EDP Renewables (Euronext: EDPR), is a global leader in the renewable energy sector and the world’s fourth-largest renewable energy producer. With a sound development pipeline, first class assets, and market-leading operating capacity, EDPR has undergone exceptional development in recent years and is currently present in 17 international markets (Belgium, Brazil, Canada, Chile, Colombia, France, Greece, Hungary, Italy, Mexico, Poland, Portugal, Romania, Spain, the United Kingdom, the United States, and Vietnam).

EDPR is committed to furthering social advances in terms of sustainability and integration. This is reflected by the inclusion of the company in the Bloomberg Gender Equality index and the fact that it has been certified as a Top Employer 2020 in Europe (Spain, Italy, France, Romania, Portugal, and the United Kingdom) and a Top Workplace 2020 in the United States, both of which recognize its employee-driven policies.

Energias de Portugal, S.A. (EDP), the principal shareholder of EDPR, is a global energy company and a leader in value creation, innovation, and sustainability. EDP has been included in the Dow Jones Sustainability Index for 13 consecutive years.

About Hoosier Energy

Founded in 1949, Hoosier Energy is a generation and transmission cooperative (G&T) with headquarters in Bloomington, Indiana. The G&T provides electric power and services to 18 member distribution cooperatives in central and southern Indiana and southeastern Illinois. We are a community-focused organization that works to efficiently deliver affordable, reliable and safe energy. Collectively, our 18 members serve more than 760,000 consumers. Hoosier Energy is an equal opportunity provider and employer.

For more information, visit www.hoosierenergy.com.

Contact:

Kaitlin Blainey
Director
Connor, Clark & Lunn Infrastructure
(416) 216-8047
[email protected]

Connor, Clark & Lunn Infrastructure (CC&L Infrastructure) today announced the formation of a strategic partnership with Hy Stor Energy LP (Hy Stor Energy), which will develop, commercialize and operate green hydrogen production, storage, and distribution at scale.

Hy Stor Energy is developing a portfolio of large-scale, fully integrated green hydrogen projects in the United States. The projects will include the on-site production, storage, and delivery of green hydrogen as both a
zero-carbon fuel and a means of storing and producing electricity on demand. This combination of storage and scale will be critical in accelerating the green hydrogen economy in the United States and will support the nation’s transition to a net zero carbon emissions future.

Hy Stor Energy is already permitted for hydrogen storage at multiple locations in the U.S. Gulf Coast, which together will form the backbone of a regional hub. This hydrogen hub will have co-located production, transmission, pipeline, rail and other infrastructure, linking these components to add value while driving economies of scale and attracting end-users. The hub is also expected to attract intellectual capital, spur innovation, create jobs and stimulate the local economy. It will deliver a major source of safe, reliable and 100% carbon free energy that is flexible and available on demand.

“CC&L Infrastructure is excited to further participate in the global energy transition with this partnership,” said Matt O’Brien, President of CC&L Infrastructure. “We believe that the green hydrogen sector is nearing an important inflection point and that its growth will contribute meaningfully to the achievement of net zero carbon emissions targets over the coming decades. The partnership with Hy Stor Energy is a natural evolution of our long-term investment strategy that builds upon our existing expertise in renewable energy. Through this partnership, CC&L Infrastructure and its clients will gain access to a number of attractive investments in a rapidly growing renewable sub-sector as well as technical expertise in green hydrogen and energy storage.”

“Hy Stor Energy is solving the unique challenges of a world transitioning to renewable energy, and we’re developing a model for producing, storing and delivering 100% carbon-free green hydrogen reliably, consistently – and at scale,” said Laura Luce, CEO of Hy Stor Energy. “Our partnership with CC&L Infrastructure will enable us to advance the large-scale development and commercialization of green hydrogen and long-duration storage.”

Green hydrogen is a zero-carbon fuel source and an energy storage mechanism. It is created using renewable energy and a process called electrolysis. Electrolysis uses only two inputs – water and renewable electricity – to produce hydrogen with zero emissions and with oxygen as the only byproduct. Green hydrogen is expected to play a critical role in the global shift away from fossil fuel based sources of energy. Specifically, it can enable the decarbonization of sectors where direct electrification is not practical, offering a viable path towards zero emissions for many industries and jurisdictions.

CC&L Infrastructure’s investment mandate targets traditional and energy infrastructure assets and companies, including power generation, electricity transmission and distribution, and energy storage, among other projects. The firm is an active investor and owner of renewable energy assets and has a current portfolio totaling 1.4 GW of clean energy generating capacity globally. The majority of these assets were acquired during development and the CC&L Infrastructure team has significant experience in both construction oversight and ongoing asset management. The partnership with Hy Stor Energy will build upon this expertise to support further decarbonization efforts and the global energy transition.

About Connor, Clark & Lunn Infrastructure

CC&L Infrastructure invests in middle-market infrastructure assets with highly attractive risk-return characteristics, long lives and the potential to generate stable cash flows. The firm has been an active investor and owner of renewable energy assets for more than 15 years. Its portfolio includes more than 60 hydro, solar, and wind facilities totaling 1.4 GW of clean energy generating capacity globally. CC&L Infrastructure is a part of Connor, Clark & Lunn Financial Group Ltd., a multi-boutique asset management firm whose affiliates collectively manage over CAD$100 billion in assets. For more information, please visit www.cclinfrastructure.com.

About Hy Stor Energy

Hy Stor Energy is facilitating the transition to a fossil-free energy environment by developing and advancing green hydrogen at scale through the development, commercialization, and operation of green hydrogen hub projects. Large, fully integrated projects produce, store, and deliver 100% carbon-free energy, providing customers with safe and reliable renewable energy on-demand. Developed as part of an integrated hub, these projects couple on-site green hydrogen production with integrated long-duration storage and distribution – using scale to reduce costs. Hy Stor Energy, led by energy storage industry and hydrogen technology veteran Laura L. Luce, has an innovative team with deep expertise and is positioned as a leader in the green hydrogen revolution. For more information, please visit www.hystorenergy.com.

Contact:

Kaitlin Blainey
Director
Connor, Clark & Lunn Infrastructure
(416) 216-8047
[email protected]

Crestpoint Real Estate Investments Ltd. (Crestpoint) announced today the acquisition of the Junction Shopping Centre in Mission, British Columbia. The Junction Shopping Centre is a 300,612 square foot tier-one grocery and drug-store anchored shopping centre situated at the junction of Lougheed Highway and Abbotsford-Mission Highway, approximately 70 km east of Vancouver.

The property is currently 98% leased to a strong roster of over 40 national and regional daily needs tenants. It is anchored by Save-on-Foods and London Drugs and has a diverse roster of ancillary tenants including Winners, Cineplex, Goodlife and Starbucks. Overall, the Junction offers a tenant mix well‐suited to local demographics providing an attractive mix of daily needs retail with grocery, pharmacy, liquor, financial services, health and personal care, entertainment and discount retailers.

“We’re very pleased to partner with Anthem Properties on this acquisition and to be adding such a high quality and stable retail asset to our diversified Core Plus Real Estate Strategy. With grocery and pharmacy anchors, the service oriented nature of the Junction Shopping Center is a great addition to our well-diversified and growing retail portfolio in Western Canada.” said Devon Howsam, Vice President, Acquisitions & Asset Management, Crestpoint Real Estate Investments Ltd.

About Crestpoint Real Estate Investments Ltd.

Crestpoint Real Estate Investments Ltd. is a commercial real estate investment manager, with $6.3 billion of gross assets under management, dedicated to providing investors with direct access to a diversified portfolio of commercial real estate assets. Crestpoint is part of the Connor, Clark & Lunn Financial Group, a multi-boutique asset management company that provides investment management products and services to institutional and high net-worth clients. With offices across Canada and in Chicago, and London, Connor, Clark & Lunn Financial Group and its affiliates are collectively responsible for the management of over $100 billion in assets. For more information, please visit: www.crestpoint.ca.

Contact:

Kevin Leon
President
Crestpoint Real Estate Investments Ltd.
(416) 304-6632
[email protected]

In this special commentary, we discuss the evolving Evergrande situation. While we do not hold Evergrande in our portfolio, we wanted to share our views because it is the most indebted real estate company in the world, and has created lots of volatility in the global financial market.

Background on Evergrande

Evergrande is the second largest property developer in China in terms of sales value. The company has 160,000 employees and close to 4 million employees related to Evergrande’s activities. It has a total debt of RMB 2 trillion (around USD $300 billion, equivalent to 1% of deposits in China, and almost 2% of China’s GDP), including interest-bearing debts of RMB 571 billion, pre-sale of RMB 216 billion, payables of RMB 963 billion, and wealth management products of RMB 100 billion. It is one of the most levered real estate companies in the world, but its debt is still minor in relation to China’s financial system as a whole. Considering the above data, we believe China’s financial system can absorb, without any mayor problem, all the losses from this company.

Potential of creating a contagion effect on the broader global financial markets?

This is not another Lehman. We think the contagion effect on the broader global financial markets is limited. The Evergrande saga remains a domestic issue. The Chinese government has enough capacity to intervene and will do so to reduce the contagion risk.

The recent news is an example: Evergrande reached an agreement with yuan bondholders on an interest payment due September 23, 2021, without clarifying the terms. The Chinese government injected RMB 120 billion into the banking system on September 22, 2021.

The major risk is a contagion to other developers, banks, suppliers, holders of Evergrande’s wealth management products, and home buyers. A possible scenario is that the government could take over the problem companies with state-owned enterprises (SOE).

As the property policy is unprecedentedly tight at this moment, the government has plenty of room to loosen if they want. It is likely that they are willing to wait in order to show that the real estate sector is not “immune” but that they can come in at any time in order to preserve financial stability. Many loans to Evergrande made by Chinese banks are implicitly backed by the government. We believe that the first priority for the government is to ensure that the pre-sold apartments are delivered to the buyers, otherwise, there will be serious social unrest.

Regulatory headwinds coming from China

The key words for China’s policy is currently “Common Prosperity,” which fundamentally entitles a policy shift towards reducing wealth inequality. The concept is not new; it has been a long-term goal of the Chinese government that has become more relevant recently.

The Central Party and State Council jointly announced the plan on June 10, 2021, establishing Zhejiang province as the pilot zone. The 14th five-year plan (2021-2025) called for an “action plan” to be fully implemented by 2050, to become an advanced, modern economy. Among common prosperity goals are narrowing the income gap, tackling the increasing real estate prices, promoting higher household income growth, increasing public services, such as healthcare and education, and improving living conditions of rural residents, among many others. These common prosperity initiatives will likely rebalance the economy from investments to consumption, targeting the midlow-income population. Moreover, the state’s role in public and private sectors is likely to become more relevant.

In the upcoming Politburo meeting this December, policymakers will set priorities for next year.

Appendix

Examples of contagion risks:

  1. Other developers will find financing more difficult, if investors lose confidence in them. Project sales will also become more difficult. As a matter of fact, the selling prices of properties are controlled by the governments, so developers are not able to sell their properties at discounts.
  2. Suppliers should be more cautious on payment terms and conditions on other developers. They would also see lower demand and production. Some may need to cut jobs or wages, causing weaker household consumption.
  3. Home buyers (more than a million) are also heavily protesting at Evergrande’s offices causing their construction projects to be halted. Home buyers that are working with other developers may also doubt their houses would be delivered, therefore, causing more selling pressure.
  4. Local governments receive transfers from the central government with bond issues via Local Government Financing Vehicle (LGFV) which are collateralized with land use rights. Raising funds for local governments could eventually become more complicated.
  5. More default scenarios of individual companies are also likely to occur. For example, Sinic (2103 HK) was implied to have financial problems, and the stock slumped 87% on September 20, 2021.

Chinese government successfully resolved the interbank credit crunch in 2013. Tools that the
government could use this time:

  • Easing liquidity: RRR cut, liquidity injection
  • Verbal support
  • Controls of LGFV financing likely to become less tight
  • Loosening of property policy
  • Accelerating LG bonds
  • Maintaining low rates
  • Persuading banks to lend

The systemic risk is not high.

  • Although Evergrande has a larger balance sheet (RMB 2.4 trillion) than Huarong (RMB 1.6 trillion) and Anbang (RMB 1.5 trillion), its asset contains largely land lots which are much more “tangible than the other financial companies.”
  • Since the government controls the financial system, many SOEs could be strategic investors of Evergrande and also adjust the property policies.
  • When the People’s Bank of China (PBoC) initiated its support to the property sector (printing money) in-mid 2014, it granted a long term loan to China development bank. PBoC said at that time, “A change emerged in the base money supply channel.”
  • The government could buy their own land, as they did in 2014-2015.
  • In the case of Evergrande, the government can let them fall, avoiding a contagion or make an orderly debt restructuring. In similar cases they have taken actions. In the case of Anbang, several SOEs took up the company and formed a new insurance company. In the case of Huarong, Citic Group (a SOE) and other “strategic” investors capitalized the company.

Thoughts on the stock market

It is worth noting that the Chinese government seems to have downplayed the importance of paying too much attention to short-term growth. They indeed have a short-term buffer, considering the 2021 GDP target is “above 6%,” and the country is likely to grow in the range of 8% this year. The current outlook is more focused on solving structural problems, which may have short-term collateral consequences, but the vision is to improve the long-term perspective. Indeed, President Xi has emphasized on numerous occasions that the aforementioned long-term goals are not just an economic objective, but serve as the Party’s “governing foundation”. The foregoing is still interesting, since, as previously mentioned, the Western vision is often different. Billions of dollars have been lost in market capitalization of the Chinese assets sector, driven by strict regulatory policy in the afterschool tutoring, together with anti-monopoly and cybersecurity rules in the internet sector. The government has also tightened property policies. Currently, a blanket of uncertainty persists regarding « which sector will be regulated next. » For example, almost one month ago, a state media article equated the gaming industry, which has many companies that trade on the stock market, to “opium”. Although the government quickly quashed this article and there were no official statements, it caused a rapid slump of shares linked to the gaming sector, reflecting the prevailing nervousness among investors. The government recently released new regulations for the industry, including limiting the amount of time children can play video games to three hours a week, and last week state media mentioned that companies should avoid the sole focus of pursuing profit, in order to prevent minors from becoming addicted to games. This sentiment led to another round of losses in gaming-related stocks.

We believe China is trying to improve its society in the long term, but are not very concerned about the effect this may have on investors in the short term. The question then is; how can we better cope and adjust to these policies for the benefit of our clients? China accounts for around 10% of the MSCI EM Small Caps index, making it an important investment for our EM Small Cap fund. Our approach to this new environment is to understand the domestic perspective and invest in companies/sectors that are subject to less regulation and more likely to benefit from the new trends that we see emerging in the future. Each scenario presents a new opportunity and the trends include:

  • Greater self-reliance on government-fostered technology (semiconductors, artificial intelligence);
  • Renewable energy;
  • Fitness;
  • Consumption favouring local brands/companies; and
  • Manufacturing industry and robotics for products designed mainly to support and strengthen the Chinese economy.